Les sans-abris qui ont subi des expériences traumatisantes doivent souvent raconter leurs histoires plusieurs fois à différents professionnels de la santé, ce qui peut être démoralisant et dissuader les patients d’utiliser les services. Les services travaillant sur le sans-abrisme et la santé à Bristol au Royaume-Uni, incluant des services psychiatriques et médicaux, des agences sociales et des prisons, ont commencé à partager leurs données en octobre 2016 en vue de réduire la nécessité pour les sans abris de devoir raconter leurs problèmes plusieurs fois. Le partage de données bénéficie également aux docteurs qui ont une meilleure vue d’ensemble de la santé des patients, leur permettant d’évaluer plus efficacement les mesures nécessaires pour prendre en charge les patients. Pour plus d’informations, cliquez ici.